Premières prises
Boke, le mot mongol signifiant la lutte, désigne une activité dont l’histoire est vieille de plus de 2 000 ans. On voit ici des élèves pratiquer les exercices traditionnels dans une école primaire de Hohhot, dans la région autonome de Mongolie intérieure, le 9 octobre. [Ding Genhou/For China Daily] |
Une annexe du Musée du Palais en chantier
Après des années de travaux préparatoires, la construction d’une annexe du Musée du Palais a été officiellement lancée le 10 octobre dans la banlieue nord-ouest de Pékin. Les installations, qui s’étendront sur 62 hectares dans la partie nord du district de Haidian, feront office de satellite du complexe qui a été le palais impérial chinois entre 1420 et 1911, également connu sous le nom de Cité interdite. L’annexe comprendra 35 000 mètres carrés d’espaces d’exposition, un centre de préservation des vestiges culturels de 20 000 mètres carrés et un entrepôt de 23 000 mètres carrés, indique Shan Jixiang, directeur du Musée du Palais. L’ouverture officielle est prévue pour juin 2022, mais le centre de préservation pourrait être prêt pour accueillir le public dès 2020 à l’occasion du 600ème anniversaire de la Cité interdite, précise M. Shan.
On cultive du riz dans l’eau de mer
Trois rizières expérimentales alimentées à l’eau de mer ont fourni une récolte le 10 octobre en Chine, marquant ainsi une étape supplémentaire vers la viabilité commerciale future de cette production. Également connu en tant que riz résistant à l’eau salée et alcaline, le riz d’eau de mer est conçu pour pousser dans les estrans ou dans des zones à forte teneur en sel ; il a été élaboré par des spécialistes de la sélection végétale à l’aide de croisements ou d’autres technologies. Le rendement d’un type de riz d’eau de mer cultivé dans le district de Chengyang à Qingdao, dans la province du Shandong, a été de 3,9 tonnes métriques par hectare, ont annoncé les spécialistes. Zhang Guodong, directeur exécutif adjoint du centre de recherche et de développement de Qingdao concernant le riz résistant à l’eau salée et alcaline, estime que le rendement des grandes rizières pourrait être amélioré.
Un fossile humain éclairant pour l’évolution
Découvert dans le nord-est de la Chine, un crâne fossile dont on pense qu’il correspond à l’Homo heidelbergensis, une espèce éteinte proche de l’homme, est considéré comme l’un des fossiles de nos prédécesseurs les plus complets jamais trouvés, selon les experts. Il s’agit de la première découverte d’un fossile Homo heidelbergensis en Asie, a fait savoir Ni Xijun, chercheur à l’institut de paléontologie et de paléoanthropologie des vertébrés à l’académie chinoise des sciences, sur son site Web de l’université Hebei GEO.